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Pour de nombreux pays du monde, le tourisme est une aubaine. C'est aussi l'occasion pour chacun de découvrir des paysages magnifiques et d'affronter de nouvelles cultures et des modes de vie différents. Mais aujourd'hui, nous sommes conscients des lacunes du tourisme, en particulier celui du tourisme de masse. Cet article vous éclairera sur ces dangers auxquels fait face le tourisme de masse.
Le tourisme de masse : qu'est-ce que c'est ?
Tout d'abord, le terme tourisme fait référence aux activités de toutes les personnes qui doivent rester en dehors de leur zone habituelle à des moments différents. Un grand nombre d'activités touristiques et la popularité de certains endroits ont engendré ce qu'on appelle le tourisme de masse. Dans certains endroits, l'industrie du tourisme est si élevée qu'un grand nombre de personnes y affluent chaque année par le biais de voyages et de touristes. Cependant, nombreux de ces sites, souffre chaque année du grand nombre de ces personnes.
Métamorphose des sites naturels et historique
Ces dernières années, en réponse à l'afflux de touristes, certaines régions du monde ont complètement changé. Par exemple, pour les gens qui ont visité Bali, il y a de cela 20 ans, Bali est méconnaissable. L'île reçoit en moyenne 16 000 touristes par jour, elle peut donc tous les accueillir. Cela entraîne, des embouteillages, pollutions et sursaturations du site. Hormis Bali, certains autres endroits sont menacés également notamment ; le paradis de Raja Ampat, le tombeau d'Égypte, Venise où les Galápagos.
Pollution atmosphérique
Selon le magazine Géo, à une distance d'un kilomètre, la quantité de dioxyde de carbone produit par un avion équivaut à 360 grammes, contre 150 grammes pour les voitures et 11 grammes pour les trains. Alors il est indispensable de prendre conscience en limitant le plus possible le transport aérien.
Cependant, on oublie souvent les bateaux de croisière. Les paquebots peuvent polluer jusqu'à 1 million de voitures lors de leurs escales dans le port. De plus, la teneur en soufre du fioul du navire est 350 fois supérieure à celle du diesel de la voiture, ce qui nous donne finalement un mode de transport super-polluant !